Redécouvrez des lieux qui vous semblent ordinaires, en imaginant ceux qui sont passés par là avant vous


Vous pouvez nous fournir des anecdotes que nous publierons ici, comme les nouvelles ci-dessous.
Nous avons établi une première répartition par métiers, puis par lieux de migrations.

L'origine du nom est imprésice, il existe un livret intitulé "Comptines pour fillotes et garcelons"
cela correspond à ce que nous disait Raoul Garcelon (1908-2000), Garcelon pourrait signifier "petit garçon" !
C'est la meilleur définition que nous ayons trouvé.


Les paysans   la ferme de Mazerolles  
Les marchands
La compagnie Garcelon de Salers
les meuniers   Bertrand Garcelon mise à jour le 12 mars 2022
Cafés, auberges, restaurants    mise à jour le 22 aout 2021
Cordonniers   
les marchands de Toiles  
Boulangers  mise à jour le 20 juillet 2021
Marchands de parapluies
les Laiteries Garcelon mise à jour janvier 2023
Autres laitiers-nourrisseur nouveau janvier 2023
Les chaudronniers 
St Cloud, Boulogne, Sèvres.  
le passage Thiéré à Paris
Mulhouse
Les Vosges  Epinal - Cornimont - Le Thillot - Servance -
Les Ardennes
La Somme
L'Aisne
les Biens Nationaux 
les Religieux   
Les Militaires 
les Garcelon morts pour la France
Les avis mortuaires  
Faits divers 
Publicités
Diaporamas / visites
Chaudronniers de Calamocha, et les Marchands chaudronniers d'Alicante :
voir la page des Garcelon d'Ally et Chaussenac



Les marchands,

Cette profession est mal définie dans les actes. Très probablement ils exploitaient une ferme en même temps.
Voir ci-dessus
Certains ne savaient pas signer, mais cela ne les empêchaient de commercer.
Antoine Garcelon (petit-fils d'Antoine dit Toti)  marié (avant 1615) à Hélis SERRE, résident à "Tougouse" est dit marchand dans de nombreux actes.
Jean Garcelon dit "Nadau"  à "Aubaniac" d'Anglards, métayer du seigneur d'Escorailles, est également marchand, mais il ne sait pas signer.

Très souvent parmi les chaudronniers nous trouvons des "marchands" voir le chapitre "les  chaudronniers";


Acte de vente trouvé dans les actes de notaires, ne concernant pas les Garcelon :
La notion de crédit était déjà bien en place

  « Je soussigné Jacob COUDERC marchand de bestail de la ville de Salers confesse devoir à sieur Jean ANDROU marchand du lieu de Montgrelaix la somme de six cents livres pour la vante et délivrance de dix boeufs gras quil me délivra le jour d'hier au foiral de Trizac, à laquelle somme nous avons convenu du prix des dit boeufs, laquelle dite somme je promets payer audit sieur ANDROU dans le premier jour de Carême prochain en foi de quoy j'ai signé la présente avec Me. Antoine DEMATHIEU qui la écrite à Fonrouge ce 3ème novembre 1673 »
-Mongreleix est à 14 km de Condat (15), Fonrouge : hameau de Trizac (15)


Le 16 mai 1718

une délibération des marchands et artisans de la ville Salers (ad-1098) et suivants, vous donne un aperçu des divers métiers représentés à Salers, de leur organisation et de la prise en compte des héritiers et ayants droits

L'an mille sept cent dix-huit et le seize jour de mai après-midi en l'hôtel commun de la dite ville de Salers par-devant le notaire royal soussigné et les témoins bas-nommés ont été présents:
Charles Henri PONS sieur de Lachau, avocat faisant pour lui et demoiselle Anne RHODE sa belle mère,
Antoine CHAZETTE, Guiom DENCHANET faisant pour demoiselle Izabeau COUDERC sa femme fille de défunt François COUDERC Louis et Benoit JAMY frères enfants de défunt François JAMY, Antoine DELDENES, Pierre DEMAL tuteur des enfants de feu maître Jacques ROLLAND avocat au parlement héritiers de Guinod ROLLAND leur ayeul,
lesdits RHODE, CHAZETTES, COUDERC, DELDENES ET ROLLAND, marchands de fromage ;
Pierre GARCELON pour lui et pour les enfants de défunts Martin et Simon GARCELON ses frères associés, marchands drapiers ;
François CLAUX maître chirurgien ;
Jean BLANCHEFLEUR apothicaire ;
François CLAUX, Pierre LAPLAZE, Antoine CLAUZET, Jean CHEMOL hôtes ;
Estienne VERGNES maître célier ;
François CLAUX, Pierre DAUZET, Hyacinthe BLANCHEFLEUR, Antoine LABOBE bouchers ;
Guillaume VESCHAMBRES, Jacques BENOIT, Pierre VIDAL, maîtres cordonniers
Raymond MAGNE, Guy MAGNE maître serruriers ;
Jean BAC, Jacques ESCALIER, maîtres maréchaux ;
Jean ROBBERT maître pastier ;
Pierre ROBBEERT, Jean BANCHAREL, Gervais LAFON, Annet BONHOURE, maîtres charpentiers et menuisiers ;
Jean VERGNES père, Jacques COL maîtres maçons ;
Pierre ESCALIER, Antoine MOULIER (?) tailleurs d'habits ;
Guillaume BOUDET pigousart, Jean JOANI voituriers, et autres
tous habitants de la présente ville représentants le corps des marchands, arts et métiers lesquels étant assemblés au son de la cloche à la manière accoutumée après avoir longtemps entre eux délibéré sur le sujet ci-après expliqué ont unanimement déclaré de leur (. . . ?) qu'ils font et constituent syndic procureur général et spécial ledit sieur de LACHAU acceptant pour et au nom dudit corps retirer la quittance de la finance payée par la communauté des arts et métiers pour raison de la réunion des deux offices d'auditeurs et examinateurs des comptes dû par l'édit du mois de mars 1694 . . . etc.


Michel Garcelon, fils de Géraud et Catherine Doumergue, dit commerçant en Espagne, lors d'un partage le 19 octobre 1853, voir l'auberge de St Martin Valmeroux .


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les marchands de Toiles


Les marchands de toiles avec Les Garcelon de Neyrecombes
Jean Julien Garcelon  et de Marie Villebonnet, se marient à Trizac le 17 novembre 1869 (Marie Villebonnet étant née sur cette commune) à ce moment-là, les parents Garcelon (Jean et Antoinette Bancharel de St Bonnet) sont déjà à Neyrecombes cultivateurs avec ce fils Jean Julien.

Les enfants de Jean Julien Garcelon  et de Marie Villebonnet étaient 5  :

1- Jean Jules Marius, le père de
Ida GARCELON épouse LESCURE et
d'Andrée GARCELON épouse FABRE,
2- Pierre dit Jules, le père d'Emilien GARCELON (père de Christiane), et de Raymond,
3- Jean Julien Ernest dit Gervais, le mari de Sarah et père de Maurice GARCELON et d'Hélène GARCELON,
4- Marie Emilie dite Amélie, l'épouse et veuve d'Antoine DELPRAT.
5- Pierre Clovis Maurice , célibataire.

Nous avons souligné le prénom usuel qui circule dans la famille, parfois sans rapport avec celui de l'état civil.

Ils vivaient auprès de leurs parents à Neyrecombes, cultivateurs.
Cette maison était aussi une auberge-relais de poste ;

L'exploitation familiale n'était pas assez grande pour leur permettre de vivre des revenus de la propriété.
C'est la raison pour laquelle tous les membres de cette fratrie se sont orientés vers le commerce de la toile.

Cette corporation, appelée négociants-voyageurs, nombreuse en Auvergne, n'avait pas de boutiques avec pignon sur rue dans une ville mais faisaient à domicile, de ville en ville, le commerce et la vente de la toile dans différentes régions, voire même jusqu'en Espagne.
Pour cela, ils étaient en contact avec les fournisseurs et les dépôts de grandes filatures du Nord ou de Voiron,  Cela ne les empêchait pas d'avoir des enseignes commerciales spécifiant dans leur intitulé leur domiciliation personnelle voir :
la facture Jules Garcelon de Voiron dans l'Isère avec la traite adressée à un client de Perpignan dans les Pyrénées Orientales
et  la carte de visite de Madame Veuve DELPRAT-GARCELON, marchands de toiles à Mauriac.
Ils développaient un réseau de clientèle très large dans toute la France et au-delà.

renseignements fournis par Andrée Fabre née Garcelon  fille de Marius.

Chez les marchands de toiles nous avons également Gabriel Garcelon à Angers (49) mais il tient un magasin
(voir la lettre). Le père de celui-ci était potier d'étain, il y a une grande adaptabilité chez les Garcelon.

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Les chaudronniers,

Depuis Géraud en 1632 à Calamocha en Aragon, jusqu'à Boulogne-Billancourt en 1792 et Mulhouse ;
sans oublier Louis Garcelon qui va à Rotterdam en Hollande voir son passeport

dans le monde des étameurs nous avons cette photo représentant des étameurs d' Epoisses qui officiaient à Mauriac en l'absence des étameurs du lieu !

à gauche il y a Antoine Garcelon du Vigean, né en 1908
Nous avons rencontré, à St Bonnet de Salers en 2008, un dernier étameur ambulant, un vieux monsieur qui avait
pratiqué ce métier avec son père avant la 2° Guerre Mondiale et qu'il l'a pratiqué par la suite avec un compagnon
leur itinéraire les conduisait vers la Normandie : Domfront, Falaise et le Perche
Ils se déplacaient d'abord avec une roulotte et un cheval, puis après-guerre avec un fourgon.
Départ courant septembre, retour courant mai.

Trouvé cet excellent article dans le "Réveil Cantalien" du 3 juillet 2015
Le titre : les étameurs du cantal:  page-1 : page-2 ; page-3
.
Les chaudronniers semblent former le socle de l'émigration des Garcelon et de ceux qui leur sont affiliés.
Cette chaudronnerie de cuivre peut se comprendre avec tout le commerce d'ustensiles ménagers (casseroles et chaudrons) fabrication de neuf, réparation et fabrication à partir de récupérations d'ustensiles trop usagés.

Ici l'on voit bien que le fond est une pièce de récupération


Quelques détails de la paroi d'un chaudron


Une poignée de couvercle "très simple"    Pot de cuivre souvent réparé

  


Nous pensons que la fabrication et l'entretien de chaudières de production d'eau chaude chez les blanchisseurs peut avoir provoqué en partie cette migration. (voir la reproduction ci-dessous)
Plus au nord et à l'est de la France il y a les cuves de fermentation pour la bière, mais aussi les alambics pour la distillation des alcools. Ce détail touche les régions viticoles mais également d'autres provinces comme la Normandie, la Bretagne ou tous autres lieux producteurs de fruits et peut-être même de fleurs pour la distillation de parfums.
La réputation et le savoir faire de nos Cantalous étaient grands, et les Garcelon sont réellement partis dans toutes les directions,  et les retrouver n'est pas une mince affaire.
De plus, ils étaient adaptables :
chaudronnier puis tapissier ; chaudronnier > boulanger ; chaudronnier > distillateur ;
dans une activité proche de chaudronnier > fabrication de comptoir en étain ou encore
chaudronnier se sédentarisant en créant des magasins commerce de fontes et ou articles de ménages.
Bref ! Ils n'avaient pas les deux pieds dans le même sabot.


Chaudronniers de Calamocha

Marchands chaudronniers dAlicante

pour ces 2 derniers points voir la page des "Chaudronniers en Espagne"

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-Les Ardennes

Nous savions de longue date que des Garcelon avaient migré dans cette région avec la piste d'un couple Garcelon, propriétaire d'un moulin à Mézières, c'est un compte rendu de procès qui nous avait ouvert la voie.
En définitive nous avons rencontré une nouvelle fois un chaudronnier, Gabriel Garcelon, celui-ci venu du Vigean, mais descendant de Géromino Garcelon notre chaudronnier de Calamocha en Aragon.

- L'Aisne

Ici encore, le hasard nous a permis de trouver des chaudronniers, ils sont venus de Méallet dans le Cantal, ce Guillaume Garcelon qui semble être l'initiateur de cette migration est le frère de Gabriel des Ardennes. Guillaume est venu avec au moins son fils qui se mariera sur place à Fontaine les Vervins : nous lui avons trouvé 2 filles décédées en bas âge et un garçon né en 1821: Jean Gabriel.
Dans nos recherches sur le site de "Gallica" nous avons trouvé dans un annuaire de St Quentin un Garcelon rue Dachery
La suite est à rechercher !

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Les avis mortuaires


Mourrir loin de chez soi :
En 2004, nous avions rencontré à Chastel-Marlhac, Gilbert Garcelon (1938-2018), au cours de la conversation il nous avait signalé que son oncle Jules Léon né en 1912 à Trizac avait disparu pendant la seconde guerre mondiale
Au cours de nos recherches sur Paris nous avons trouvé sur https://liberation-de-paris.gilles-primout.fr/
GARCELON Jules Léon décédé : 17 août 1944, 136 rue d'Aboukir à Paris
Nous pensons qu'il s'agit du Léon Garcelon situé dans le graphique n°4 cellule P 140

Voici la réponse de Gilles Primout, gestionnaire de ce site.
Je ne sais pas grand-chose de Léon Garcelon sinon que le 17 août 1944, vers 21h30, une fusillade éclate entre FFI et soldats allemands, boulevard Bonne Nouvelle, Léon Garcelon est tué d'une balle perdue rue d'Aboukir, devant le n°136, Samuel Blitz, 73 ans, tombe rue de Cléry.
Ces deux hommes ne sont pas des combattants mais des badauds attirés par le spectacle.
Il y aura beaucoup d'autres victimes de la curiosité pendant les combats de la libération de Paris.
Les Allemands restant sur place toute la nuit, les cadavres ne seront évacués que le lendemain dans la matinée.

J'ai jeté un coup d'oeil sur ma collection d'annuaires des PTT de l'époque et j'ai découvert, en 1941,
A. GARCELON, (dessinat. Art.), domicilié 219, avenue de Versailles à Paris 16ème (tél : Jasmin 39.52).

autre décès loin de sa paroisse :
le texte original
voir à Granville-Gaudreville la page 252. Une trouvaille d'Annie Sacco
Lan mille sept cent soixante cinq le 8 juin par ordonnance de Mr le Bailly de Gaudreville en date de ce jour signé . . . avec paraphe, je, curé de Gaudreville soussigné, aie inhumé dans le cimetière de cette paroisse avec les cérémonies accoutumées le corps dun homme trouvé mort ce matin sur les cinq heures dans la grande rue de ce village le visage contre terre, la bouche et le nez remplis de bave avec hotte sur le dos dans le tous? quon le retournait pour savoir sil avait encore quelque signe de vie, est arrivé à lautre bout du village un homme . . . une hotte chargée de cuir qui a dit que cette personne était son compagnon quils étaient entré ensemble de le village , il y avait . . . une demi heure ce que plusieurs des assistants ont dit avoir vu, interrogé par moi, devant tout le monde qui était cet homme mort a répondu que . . . . avec lui depuis neuf jours il ne savait pas bien son nom; mais que le défunt lui avait dit étant de la ville de Mauriat ou Mauriac en Auvergne il sappelait Sisterne, interrogé comment il sappelait lui-même a répondu quil avait nom Jacques Desguerres marié dans la paroisse de St Bonnet proche de Salers en Auvergne à une lieue et demie dudit Mauriac diocèse de Clermont baillage dAurillac quil était cordonnier ambulant de son métier et quayant manqué de compagnon il avait loué à Nemours pour porter ses cuirs, le dit défunt qui suivait auparavant des chaudronniers que depuis qu'il était avec lui il lui avait vu faire tous les exercices de bon catholique il lui avait avoué être sien ? et a un mal nommé catha& et quil avait apparu que ce mal l'avait étouffé subitement puisquils avaient déjeuné ensemble il y avait une demie heure ou trois quart dheure quil était apparu que le dit défunt soufflait et soufrait beaucoup en marchant Comme on le voit dans le document ci-dessus être bon catholique était important
dans leur testament nos voyageurs ou migrants le spécifiait.

Le certificat de baptême

ci-dessous trouve peut-être là son explication.

Éventuellement, il pouvait servir de pièce d'identité !
Si vous avez une meilleure explication, merci de nous la proposée !

Dans le faire-part de décès (communiqué par" Madame Louise Lafon", née Garcelon)



Henriette Hermann, + 27 juillet 1913 à Belfort, (elle a 22 ans).
Alfred Garcelon, son mari,
M. & Mme. Jean Garcelon à Mulhouse
Mademoiselle Jeanne Garcelon à Mulhouse (soeur d'Alfred)
M. & Mme. Biedermann-Garcelon à Lunéville (Marie Antoinette, soeur d'Alfred)
M. & Mme. Antoine Garcelon & leurs enfants à Mulhouse
Mme. Veuve Pierre Dichand, née Garcelon à Belfort
Mme. Veuve Antoinette Garcelon à Mauriac
Mme. Veuve Jean Baptiste Garcelon et ses enfants à Mauriac (Virginie Chavialle)
Mme veuve Hélène Verrière née Garcelon et ses enfants à Mauriac (tante d'Alfred)
M. & Mme. Antoine Garcelon à Mauriac
M. & Mme. Louis Garcelon et leurs enfants à Saint Quentin
Nous n'avons pas détaillé les familles : Hermann, Hanauer, Boulanger, Meyer, Rousset, Clauzet, Chambon, Woerlin,

Les 3 faire-part GARCELON suivants trouvés par Isabelle NOESMOEN








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Des faits divers :


La ferme de Marsalou à Mauriac,
où nous trouvons un Garcelon impliqué dans le livre de l'abbé SERRE contant la vie de Catinon Menette.

Ce papier a été trouvé dans un important stock d'archives chez un particulier, contrats, obligations, divers etc.
Le nord du Cantal recèle encore de nombreux trésors difficiles d'accès et demandant beaucoup de diplomatie !
Cet amusant document, sans date en provient.

Ceci ne concerne pas les Garcelon,
Le hasard des recherches permet de faire des trouvailles et ce serait dommage de ne pas les partager. demande de naturalisation belge de François Rouchy, (né le 13 septembre 1832 à St Bonnet de Salers) fils de Guillaume  et de Clotilde Barbieux

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Autrefois, il n'y a pas si loin, certains savaient raconter des histoires et/ou les chanter.
Une cousine, Anne Marie BORNE, nous a transmis cette coupure du journal "La Montagne" du 18 novembre 1977.
Ce Jean-Marie BORNE était le cousin de son père.

Dans le même répertoire, François YZORCHE nous trouve cette histoire de Joseph Garcelon qui vaut son pesant d'originalité. Extrait de la revue "l'Echo" de juillet 1950 :

"Quant à "Chancelou" , le -fermier mondain- d'Apcher (de Saint Paul de Salers), mort nonagénaire, il avait une voix de ténor de grande classe. En été, au soleil levant ou à la tombée du jour, il aimait se camper sur le bord de l'énorme Roc d'In-Champigno, qui surplombe la vallée de la Maronne aux méandres si gracieux, après le confluent de l'Aspre. Il chantait avec virtuosité : "La Grondo", La Yoyette" et autres airs d'autrefois, à la grande joie des habitants des hameaux de "Palmont", "Clédart" "Fumel" et même "Fontanges" qui se pressaient sur le seuil de leurs demeures pour entendre la voix du Barde de la Montagne.

En mars 2006, nous avons photographié une vue de la vallée de la Maronne, (voir page d'accueil) au fond à droite il y a Fontanges à gauche le hameau de Clédart avec en avant plan des sapins qui marquent l'emplacement de Palmont et son château ; le Roc d'In-Champigno est juste au-dessus, à gauche et, à l'extrème gauche, au même niveau se situe la ferme d'Apcher. Le hameau de Fumel est sur le versant opposé.
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Publicités extraites du "Réveil de Mauriac"

     
 


Tourisme au pays de Garcelon


Nous pensons que la généalogie additionnant seulement des noms et des dates intéresse peu de gens.
Visitez les lieux où nos aïeux ont vécu avec leurs familles et voisins,
les actes de notaires peuvent vous guider sur ces chemins de découverte.
Il est toujours dommage de ne pas connaître le pays de ses ancêtres !
D'où les sujets suivants :

Diaporama St Julien aux Bois :

: format pdf.
ceci vous donnera un aperçut des constructions et de la façon de vivre.
Là, encore, nous sommes bien loin de l'imagerie d'Epinal, la vie n'y était sûrement pas facile.
Même si on vivait au rythme du soleil et des saisons.
Ces photos ont été faites en septembre 2008, depuis ce village a pris de l'extention.

Les Fermes du Moyen Age de Xaintrie
Le Puy d'Arrel
19220 Saint Julien aux Bois
Tél : 05 55 28 31 30

Le pays des Garcelon

: format pdf.
C'est à dire le pays de Salers.
Photos prises à différentes époques selon les visites que nous avons faites seuls ou en faisant découvrir la région à des amis. Elles sont regroupées dans un sens de visite.

les Garcelon d'Ally

: format pdf.
Ici nous trouvons Ally, Brageac et Chaussenac. Le terroir des Garcelon d'Amériques.
Nous avons inséré quelques vieilles photos pour contrer l'aspect trop net des autres clichés.
Ayez toujours présent à l'esprit le bâti de St Julien aux Bois.


 Autour du puy Mary
  : Collandre, le Puy de Peyre Arse, Cotteughes,

: format pdf.
pour Cotteughes et pour mieux comprendre les vues présentées dans ce diaporama,nous avons inséré des photos prises sur le panneau d'informations à l'entrée du site.
Vous trouverez de plus amples explications dans la Revue de Haute Auvergne. Mais, avec ce mince bagage, vous ferez une agréable visite.


Petit patrimoine


Au cours de nos recherches nous avons fait des découvertes dans des propriétés privées que nous ne pouvons évidemment pas préciser, d'où la nécessité de bavarder avec les gens que vous pouvez rencontrer lors de vos balades. En plus sur le domaine public il y a beaucoup de discrets et petits patrimoines, loin des itinéraires prônés par les offices de tourisme, qui méritent toute votre attention et votre respect, ils ont résisté au temps qui passe.
Après tout ceci votre généalogie prendra un autre goût et pourra peut-être intéresser un peu plus votre entourage.


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