Infos personnelles
Je m'appelle François Vaillant.
Je suis né en 1942 à CARHAIX dans le Finistère.
de père Breton né en 1905 à Landivisiau (29) (lignée depuis 1595 à
Plougastel-Daoulas)
de Marie Antoinette GARCELON née en 1900 à St Thomas de MAURIAC,
dans la maison de Jacques BERCHE, frère d'un autre Jacques Berche de
Jaleyrac.
En 1997
Voulant connaître l'origine de ma mère, nous avons commencé
à chercher, sans trop de conviction.
Un jour, à Mauriac, en passant sur la route d'Aurillac, nous avons vu
la pancarte de J.P. Garcelon, menuisier.
Ma femme lui a écrit, puis après un séjour au fond d'une poche, il a
transmis cette
lettre à sa mère, qui nous a répondu ! Elle nous disait ne pas
connaître grand-chose des Garcelon,
mais un vieil homme à "Chabannes" d'Arches nous renseignerait
efficacement.
Il s'agissait de Raoul Garcelon (1908-2000) le cousin germain de ma
mère.
Bien qu'habitant en région parisienne, il s'est révélé être une
importante source de renseignements.
Plusieurs fois, il avait eu l'occasion de séjourner à la ferme de
Lavaur de
Jaleyrac, et donc de connaître Antoine Garcelon (1839-1925) son
grand-père qui est aussi mon arrière-grand-père.
Les Garcelon ont quitté "Lavaur" en 1923.
À cette époque Raoul Garcelon avait 15 ans, ses parents tenaient un
café rue de Charenton à Paris, il avait beaucoup de souvenirs de cette
ferme !
Il nous a transmis la photo de "Lavaur été 1903" en nommant les
personnages qui y figurent.
L'aventure a commencé ainsi.
Nous avons débuté par Anglards de Salers, puis St Bonnet de Salers
et là nous avons trouvé beaucoup de Garcelon sur notre chemin.
Les contacts avec les vivants n'ont pas manqué avec la question :
" Oui, mais moi par rapport à vous ou à Untel, je suis Où ?
Nous avons donc abandonné la recherche de mes propres racines
pour comprendre l'origine de tous ces Garcelon et les éventuels liens
qui pouvaient les réunir.
Dans les registres paroissiaux de St Bonnet de Salers les Garcelon sont
très présents depuis 1613.
Le point de départ était trouvé !
Nous avons commencé en 1997 de façon manuscrite, étant loin du
Cantal, la photo numérique est une très bonne affaire, c'est toujours
frustrant de ne pas avoir le temps de tout lire,
surtout les actes de notaires qui sont parfois plus longs à déchiffrer.
Grâce à ces actes nous pouvons reconstituer quelques tranches de vie de
ces Garcelon ; fermages,
constitutions de société (1688), contrats de mariage, procurations,
quittances,
et les A.D. d'Aurillac sont bien pourvues en la matière.
Notre but :
Continuer ce cousinage, contacter les tenants du nom, mieux connaître
l'histoire de ces GARCELON, illustrer au mieux cette démarche,
transmettre les résultats aux intéressés.
Et rendre ça le moins rébarbatif possible pour intéresser le néophyte.
Les contacts avec les vivants ne manquent pas, mais font baisser le
rendement !
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